Belle vente Mobilier & Objets d’Art
Samedi 24 Septembre 2022, 14h
Expositions publiques :
– Vendredi 23 septembre de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 19h00
– Samedi 24 septembre de 09h00 à 12h00.
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Lot 2 : Carlo Francesco NUVOLONE (1609-1661). Vierge à l’Enfant avec Saint Joseph. Sanguine. Expert : Cabinet de BAYSER »
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Lot 7 : « Sebastiano CONCA (1680-1764). Jésus à la piscine probatique. Plume et encre brune, lavis gris. 52 x 48 cm. Annoté sur l’ancien montage « Del Cavalier Sebastiano Conca ». Annoté au verso « di mano del cav. Sebastiano Co / Donato de lui medesino a Bernardo Dominici » ». Annoté ne bas à droite du verso « Ducati 60 ». Note : Notre dessin est préparatoire à la fresque « La Piscine Probatique » du choeur de l’église Santissima Annunziata de Sienne. Expert : Cabinet de BAYSER «
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Lot 27 : « Delphin ENJOLRAS (1857-1945). Lecture au crépuscule. Huile sur toile signée en bas à droite. 60 x 74 cm. (craquelures et restauration). »
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Lot 36 : « CHINE, XIXe. Grand vase balustre en porcelaine à fond céladon et décor blanc, la panse à décor en léger relief de pivoines, prunus, chrysanthèmes et rochers, le col orné d’emblèmes et vases fleuris, deux dragons archaïsant flanqués de part et d’autre formant les anses. H. du vase. : 56 cm. H. totale : 79 cm. (base percée, monté en lampe). Expert : Cabinet Delalande – Qinghua YIN »
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Lot 55 : « PIAGET. Montre-bracelet de dame en or jaune 18K, le mouvement mécanique à remontoir manuel, le cadran rectangulaire à fond doré entouré de 24 petits diamants ronds de taille brillant et 8 petites émeraudes. Le bracelet d’origine en cuir et satin noir. Numérotée au dos du boitier : 41547 554931. Vers 1980. Poids brut : 18,5 g. »
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Lot 57 : « ROLEX. Montre-bracelet de dame en or jaune 18K et acier, modèle « »Oyster Perpetual » », le mouvement automatique, le fond du cadran doré aux heures à index bâtons, la lunette cannelée. Le bracelet jubilé avec maillon supplémentaire. Numérotée sur les cornes : 491 8. Vers 1980. Diamètre du boitier : 28 mm. Poids brut : 49,3 g. (légère rayure sur le verre du cadran). Présentée avec son écrin et son emboitage d’origine. »
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Lot 61 : « UNIVERSAL GENÈVE. Montre d’homme, le boitier circulaire et le bracelet à maille tressée en or jaune 18K, le mouvement à quartz, le fond du cadran doré aux heures aux points cardinaux en chiffres arabes. Numérotée au dos du boitier : 12491 1606820. Vers 1960. Poids brut : 76,1 g. (mouvement à quartz rapporté). «
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Lot 67 : « BREITLING-LIP. Montre-chronographe en acier, modèle « »Navitimer » », le mouvement mécanique, les secondes à 9 heures, totaliseur des minutes à 3 heures et totaliseur des heures à 6 heures, lunette tachymétrique tournante et crantée. Le bracelet en acier de marque RCC rapporté. Numérotée au dos du boitier : 806. Avec son certificat international de garantie en date du 30/12/1965 et son manuel d’utilisation. Provenance : Première main, offerte en dotation à un pilote. »
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Lot 69 : « Solitaire en or gris 750 millièmes et platine 850 millièmes centré d’un diamant rond de taille brillant de 3.43 carats monté en serti-griffe. Poids brut : 4,0 g. TDD : 53. Accompagné d’un rapport du C.G.L n° à venir. Expert : Emeric et Stephen PORTIER. »
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Lot 74 : « Collier en platine 850 millièmes retenant un pendentif au motif également en platine 850 millièmes de forme géométrique entièrement serti de diamants poire et ronds, un plus important en pampille de taille ancienne d’environ 1,2/1,5 carat monté en serti-griffes. Couleur MZ, pureté VS2, fluorescence forte. Avec chaînette de sécurité. Poids total : 6,6 g. L. 40,8 cm. H. du pendentif : 3 cm. Expert : Emeric et Stephen PORTIER. »
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Lot 81 : « Large bracelet en or jaune et gris 18K ou platine à maille chevrons, rythmé de dix petits diamants de taille brillant montés en serti-clos. Poids brut : 64 g. L. 19 cm. (probable restauration à une extrémité). «
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Lot 83 : « Dans le goût de CARTIER. Parure en or jaune 18K à maille chenille comprenant : – un collier avec chainette de sécurité. Longueur : 45,5 cm. – un bracelet avec chainette de sécurité. Longueur : Poids : 45,3 g. »
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Lot 99 : « Partie de service à thé et café en argent à décor de guirlandes de tores de laurier rubanées et fleurs, les panses chiffrées MT, chaque pièce reposant sur quatre pieds en application comprenant une cafetière, une théière, un sucrier couvert et un pot à lait. Maître-orfèvre : Maison ODIOT. Style Louis XVI, vers 1900. Poids brut : 2626 g. «
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Lot 112 : « RUSSIE, IAROSLAVL, 1805. Important triptyque de la Crucifixion. En trois parties en bois sculpté, le panneau central incrusté de la Sainte Croix en bois peint à la tempera flanquée de la Mère de Dieu à gauche et de Saint Jean à droite, sur les panneaux latéraux dix Prophètes sont représentés dans des médaillons. L’ensemble surmonté par le Mandylion. Dans son rare oklad en argent 84 zolotniks (875 millièmes) avec nimbes. Orfèvre : Nicholaï KHLEBNIKOV (actif 1795-1806). Poids brut : 2700 g. 51,5 x 40,5 cm. (usures et petits manques, les panneaux latéraux fixés au panneau central postérieurement). Expert : Maxime CHARRON «
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Lot 124 : « École française XVIIe. Vierge à l’Énfant. Partie supérieure d’une sculpture en terre cuite. 59 x 37 x 25 cm. (partie inférieure manquante, avant-bras gauche du Christ manquant, accidents dans les drapés et restaurations notamment les cous, tête du Christ possiblement rapportée, renforts et rebouchages au plâtre). Expert : Cabinet Sculpture et Collection »
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Lot 141 : « Joseph LANDAIS (1800-1883). Important plat en barbotine à décor en relief de carpe, brochet et perche, la bordure ornée d’une frise de fleurs stylisées. Signé sur le marli. 59 x 39 cm. (infimes éclats et egrenures). Note : Un moment beau-frère de Charles-Jean AVISSEAU (1795-1861), Joseph LANDAIS devient son principal rival. Il appartient à l’École de Tours réputée pour ses créations en barbotine à décor de figulines autour d’artistes comme Léon BRARD (1830-1902). Il lui sera décerné une mention honorable à l’Exposition des Produits de l’agriculture et de l’Industrie en 1849. Notre plat est exceptionnel par sa dimension et la qualité de son décor inspiré des oeuvres de Bernard PALISSY (1510-1590). «
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Lot 143 : « E.NOUVIANT et GANDEAU (XIX-XXe). Céramique impressionniste. Importante jardinière ovale en barbotine polychrome à deux anses feuillagées, la panse ornée en relief sur une face de deux échassiers et sur l’autre de fleurs, poissons et coquillages. Vers 1880. 61 x 90 x 50 cm. (égrenures et restaurations). Note : Cette grande jardinière est un travail qui s’inscrit dans la lignée des céramiques impressionnistes de la fin du XIXe siècle comme en ont produit les ateliers de Montigny-sur-Loing ou Lonchamp. Elle allie à la fois un décor peint par E.NOUVIANT et un véritable travail de sculpture pour les parties en relief probablement de GANDEAU. Cette pièce est exceptionnelle de part sa taille, sa fraicheur et son état. Expert : Marie-Pierre ASQUIER «
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Lot 173 : « André D’HOUDAIN (1860-1904). La Ronde. Groupe sculpté en marbre de Carrare signé. 73 x 50 x 50 cm. (petits accidents et manques, notamment les doigts d’un personnage). Provenance : Fond d’atelier de l’artiste par descendance. «
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Lot 198 : « Claude GUILLEMOT (XXe). Le Superbe, 1785. Maquette réalisée entièrement à la main en diverses essences de bois, cordage, tissu et métal d’après les plans d’origine à l’échelle. Portant un cartouche mentionnant le nom du fabricant « »Claude GUILLEMOT Nieul-sur-Mer, 24 mai 1997″ ». 172 x 205 x 44 cm. (excellent état). Présentée sur un socle en hêtre mouluré. Note : Le Superbe était un grand vaisseau amiral français de 74 canons sur deux ponts. Il fut lancé en 1785 sous le règne de Louis XVI et considéré alors comme le plus beau navire de guerre de l’époque, construit d’après les plans de l’un des plus célèbres ingénieurs du corps de Génie Maritime : Jacques-Noël SANÉ (1740-1831). «
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Lot 205 : « Cartel français de forme mouvementée et sa console en Vernis Martin à décor de fleurs polychromes agrémentés de bronzes ciselés et dorés. L’amortissement et la façade à décor d’un oiseau branché, les parties latérales vitrées, le cadran circulaire émaillé blanc aux heures en chiffres romains et minutes en chiffres arabes, les aiguilles ouvragées. Le mouvement à grande complication, sonnerie au passage des quarts et sonnerie d’alcôve à la demande par cordons de tirage. Avec clé, deux timbres et balancier. Époque Louis XV. Dimensions du cartel : 76 x 40 x 14 cm. Dimensions de la console : 35 x 42 x 17 cm. (mouvement en état de marche, accidents, manques et restaurations). «
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Lot 208 : « Pendule dite « »au dromadaire » » en bronze ciselé, doré et patiné. L’animal attaché à une souche, la tête ornée d’un plumeau, le cadran circulaire émaillé blanc aux heures en chiffres romains et minutes en chiffres arabes signé LECLERC à Bruxelles, ménagé dans l’harnachement en forme de tente ottomane parée de draperies, riches passementeries et surmontée d’un croissant. Le mouvement à 14 jours de réserve de marche, deux barillets, échappement à ancre à balancier simple, suspension à fil de soie, roue de compte à l’extérieur et sonnerie sur timbre. Ressort du mouvement daté 1804. Le dromadaire supporté par une base ovale à pans coupés à décor en application de trophée rubané aux carquois, masse d’arme et lances, flanqué du croissant et de l’étoile. L’ensemble reposant sur quatre pieds en sphère aplatie. Bronzes attribués à Jean André Reich (1752-1817). Émail du cadran attribué à Jean François Marie DUBUISSON. Avec clé, timbre et balancier. Début XIXe. 42,5 x 29,5 x 8 cm. (état exceptionnel de conservation, attributs décoratifs d’origine, cou du dromadaire et un pied à resserrer, croissant de la tente ottomane recollé). Note : Philippe Célestin LECLERC (1762-1846) est né à Mons en Belgique. Il travaille à Bruxelles jusqu’à son décès. Parmi les autres bronziers parisiens réputés avec qui il collabore nous trouvons Jean Simon DEVERBIERE (1764-1824) et Claude GALLE (1759-1815). Un modèle similaire à la pendule que nous présentons est conservé au Musée François DUESBERG de Mons (Belgique). «
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Lot 239 : « Armoire-secrétaire rectangulaire en marqueterie de bois exotiques dite en « »ailes de papillon » » dans des encadrements de filets. La partie supérieure ouvrant par deux portes et un tiroir, la partie médiane formant secrétaire à abattant, démasquant écritoire, quatre niches et six petits tiroirs. La partie basse ouvrant par deux portes. Les montants ornés de cannelures simulées et fleurettes. L’ensemble reposant sur quatre petits pieds fuselés terminés par des sabots de bronze. Plateau de marbre bleu turquin. Époque Louis XVI. 196 x 126 x 49 cm. (problème d’ouverture à l’abattant, petits accidents et manques). »
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Lot 245 : « Georges-Alphonse JACOB-DESMALTER (1799-1870). Paire de consoles rectangulaires en acajou et placage d’acajou ornées de filets de bois clair, ouvrant par un tiroir en ceinture, les montants antérieurs en jarrets terminés en griffes de lion, les montants postérieurs droits, l’ensemble reposant sur une plinthe à ressauts. Plateaux de marbre blanc veiné gris. L’une estampillée JACOB sur le dessus. Époque Louis-Philippe, vers 1835. 91 x 111 x 44 cm. (très bon état). Note : Georges-Alphonse JACOB-DESMALTER (1799-1870) est le petit fils du grand ébéniste Georges JACOB (1739-1814). Il fit d’abord de la décoration chez son père François-Honoré-Georges, devient l’élève de Charles PERCIER (1764-1838) et reprend l’activité familiale en 1825. Ses ateliers sont situés rue de Bondy jusqu’en 1836 puis rue des Vinaigriers jusqu’en 1847 date à laquelle il vendra son affaire à JEANSELME. Fort dessinateur il composa des meubles harmonieux et fournit comme son père et son grand-père de nombreux meubles pour les châteaux royaux continuant ainsi d’être considéré comme l’un des fabricants d’ébénisterie les plus anciens et les plus considérables de Paris. La paire de consoles que nous présentons aujourd’hui est identique à un modèle exposé en 1951 à l’Exposition du Musée des Arts Décoratifs. Bibliographie : Les Ébénistes du XIXème siècle par Denise LEDOUX-LEBARD, Les Éditions de l’Amateur, 1984, page 367. «
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Lot 256 : « Henri-Auguste FOURDINOIS (1830-1907) et probablement Victor PAILLARD (1805-1886). Table de milieu de forme mouvementée en bois noirci et marqueterie dite Boulle d’écaille et de laiton. Le plateau à décor mythologique figurant Cérès et Neptune en majesté trônant chacun sous une serlienne à montants jumelés d’amours en caryatides, l’ensemble entouré de rinceaux fleuris et feuillagés. La ceinture chantournée sur chaque face, l’ensemble reposant sur quatre pieds cambrés. Riche ornementation de bronzes ciselés et dorés tels que masques de barbus venant orner le centre des ceintures, visages féminins agrémentant les côtés, chutes d’angle feuillagées de style rocaille, sabots et fines moulures de soulignement. Estampillée FOURDINOIS sous une traverse pour Henri-Auguste FOURDINOIS (1830-1907). Époque Napoléon III, vers 1865/1870. 80 x 164 x 94 cm. (excellent état, recouverte d’un plateau de verre de protection postérieur). Note : Né à Paris en 1830 Henri-Auguste FOURDINOIS se forme dans l’atelier de Félix DUBAN (1797-1870) avant de travailler à Londres comme dessinateur de modèles auprès de l’orfèvre Jean-Valentin MOREL (1794-1860) puis à Paris avec le bronzier Victor PAILLARD (1805-1886). De son passage auprès de Félix DUBAN, il retient un grand sens de la composition, donnant une forme très architecturée à ses meubles. Il succède en 1867 à son père qui lui avait enseigné le travail du bois et le souci de l’excellence. Créateur inspiré, ses réalisations sont accueillies très favorablement par les critiques de l’époque, qui soulignent la délicatesse, la perfection de détails et la beauté des ornements. Sous le Second Empire, la maison FOURDINOIS honore d’importantes commandes pour le Mobilier de la Couronne : aménagement des appartements du Pape, de ceux de l’Impératrice Eugénie et de son musée chinois au château de Fontainebleau. Le ministère de la Marine lui commande l’aménagement du yacht impérial. Le catalogue de vente de 1887, au moment de la fermeture de l’entreprise, salue ainsi un artiste « qui a participé à bien des expositions, moissonnant partout les hautes récompenses, recueillant de tous côtés d’inappréciables suffrages, meublant de purs chefs-d’oeuvre les musées, les résidences royales et les aristocratiques hôtels de l’Europe et du Nouveau-Monde ». La table que nous présentons aujourd’hui reprend fidèlement la technique de la marqueterie Boulle en la sublimant par sa finesse et sa qualité. Les bronzes de grande qualité sont probablement de Victor PAILLARD. Cette table fut certainement l’objet d’une commande de l’Impératrice Eugénie dont FOURDINOIS était le fournisseur attitré. Sa restauration en 2012 par l’ébéniste Bernard LEMAIRE a fait l’objet de plusieurs articles de presse vantant la qualité exceptionnelle du travail de FOURDINOIS et méritant ainsi une place de choix au Salon du patrimoine au Carrousel du Louvre ayant eu lieu du 8 au 11 novembre de cette année là. »
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Lot 257 : « Paire de fauteuils cabriolet à dossier mouvementé en bois mouluré, laqué noir et or dans le goût de la Chine. Décor de pagodes, personnages, oiseaux et feuillages, les accotoirs galbés terminés par des enroulements, les consoles en coup de fouet en retrait, la ceinture chantournée, l’ensemble reposant sur quatre pieds cambrés. Travail italien XIXe. 91,5 x 64 x 55 cm. (petits éclats et manques, renforts). Belle garniture de satin jaune à décor au chinois. »
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Lot 280 : « AUDENARDE, dernier quart du XVIe. Constantin jeune luttant contre le lion. Tapisserie en laine et soie. 327 x 278 cm. (tapisserie réduite en largeur nombreuses restaurations anciennes ayant pâli). Note : La lutte de Constantin contre le lion rappelle la bravoure du futur empereur et le compare à Hercule combattant le lion de Némée. Expert : Nicole de PAZZIS-CHEVALIER »
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Lot 291 : « Jean-Paul ALAUX (1876-1955). Sous la moustiquaire, Papotages à Papeete, Flamboyant Raia Tea. Ensemble de trois estampes en couleurs sur papier dont une sur papier d’arches provenant de la série Tahiti, visions japonaises. Signées et datées 1937 dans un cartouche en haut à droite, contresignées dans la planche en bas à droite et datées 1937. 31,5 x 45 cm. (encadrées sous verre, insolées). Bibliographie : Christel HAFFNER LANCE, « »Visions japonaises de Jean-Paul ALAUX, du Bassin d’Arcachon au Pacifique » », Arcachon, La Librairie Générale, 2018. »
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Lot 296 : « André DEVAMBEZ (1867-1943). Les Réfugiés. Huile sur panneau signée en bas à droite. 26 x 21 cm. (légère griffure ancienne en partie inférieure). «
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Lot 318 : « Emilio ROBBA (1944) et DAUM France. Importante coupe modèle « »Magnum Bambou » » en pâte de verre verte. Numérotée 4/388. 21,5 x 66 x 14,5 cm. Avec certificat d’authenticité et caisse de transport d’origine. «
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Lot 326 : « César BALDACCINI dit CÉSAR (1921-1998). Petit torse. Sculpture en bronze patinée signée et numérotée 5/8. 35 x 10 x 6 cm. Accompagné du certificat d’origine signé par l’artiste avec l’empreinte de son pouce à l’encre bleue, la photographie réalisée par Claude GASPARI en date de décembre 1986 sous la référence C-11. Provenance : Acquise par l’actuel propriétaire directement à l’artiste en 1987. «
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Lot 335 : « Artisans de MAROLLES et du LOIR-ET-CHER sous la direction artistique de Jean TOURET (1916-2004). Tabouret circulaire tripode en chêne, l’assise circulaire sculptée à la gouge. Estampillé au fer MAROLLES avec l’éléphant. H. 45,5 cm. Diamètre : 27,5 cm. Note : Modèle reproduit dans le livre « »Jean TOURET » », Éditions de l’Amateur, 2022, page 208. Provenance : Acquis auprès de Monsieur LERIN, Artisan de MAROLLES et du Loir-et-Cher. »
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Lot 339 : « Artisans de MAROLLES et du LOIR-ET-CHER sous la direction artistique de Jean TOURET (1916-2004). Suspension en fer forgé à trois bras de lumière en spirales. Estampillé au fer MAROLLES avec l’éléphant. H. 22 cm. Diamètre : 50 cm. (manque les tulipes). Note : Modèle reproduit dans le livre « »Jean TOURET » », Éditions de l’Amateur, 2022, page 41 « »Exposition des Artisans de Marolles, Château de Blois (1958). «
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Lot 343 : « Jean PERZEL (1892-1986). Colonne lumineuse laquée blanc modèle « »266″ » à quatre niches, la partie supérieure agrémentée d’un réflecteur cylindrique en opaline ceint de laiton. L’ensemble reposant sur une base en aggloméré laquée blanc à pans coupés. 190 x 19 x 30 cm. «
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Lot 352 : « Ettore SOTTSASS (1917-2007) et Édition KNOLL INTERNATIONAL. Paire de fauteuils club modèle « »Eastside » » en cuir gris, bordeaux et noir reposant sur un piètement tubulaire gris métallisé terminé par quatre bagues en plexiglas. 85 x 80 x 75 cm. (état d’usage). «
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Lot 354 : « Maurice BARILONE (XX-XXIe) et Édition ROCHE BOBOIS. Console de forme triangulaire à trois plateaux de verre trempé reposant sur une base de section triangulaire en marbre noir veiné blanc. 82,5 x 142 x 35,5 cm. »